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Guide de Lecture

16 août 2011

Les Rillettes de Proust - Thierry Maugenest

Thierry Maugenest (France) - Les Rillettes de Proust - 7/10

les rillettesPartenariat NewsBook avec les éditions Points.

Lecture amusante qui permet de déconnecter entre deux romans plus ardus à lire. J'y ai découvert quelques perles plutôt amusantes (les dents de chameau par exemple) mais aussi quelques passages inintéressants. Dans le même style, rien ne surpassera les exercices de style de Raymond Queneau ni la grammaire... d'Erik Orsenna. Mais l'essai se laisse lire.

C'est drôle par moments, parfois corrosif, impoli vis-à-vis des grandes plumes mais toujours avec humour et beaucoup de recul.

Merci encore à Newsbook pour ce partage.

4ème de couverture:

"Si l'inspiration se fait désirer, ne l'attendez pas. Allez dans votre bibliothèque et copiez les premiers mots des romans de votre choix [...]. L'inspiration n'est toujours pas au rendez-vous? Retournez dans votre bibliothèque, et copiez cette fois la dernière phrase des romans de votre choix."

De bon conseil, ce réjouissant manual fera peut-être de vous le "grantécrivain" que le siècle attend. Vous y apprendrez à dénicher un bon titre de roman, à choisir un pseudonyme lorsque votre nom est imprononçable et à trouver l'inspiration grâce à vos illustres aînés.

Né en 1964, Thierry Maugenest est l'auteur de nombreux romans policiers. Lauréat de plusieurs prix littéraires, ses ouvrages ont été traduits dans une dizaine de langues.

"Un petit livre désopilant, irrévérencieux, farfelu et littéraire à souhait" - Lire

 

 

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14 juillet 2011

London Boulevard - Ken Bruen

Ken Bruen (Irlande) - London Boulevard - 8/10

 

bruen1-181x300Premier partenariat avec Bibliofolie, le remplaçant de Blog-O-Book et découverte d'un auteur de polar irlandais totalement inconnu pour moi.

Et pourtant cet auteur de 60 ans a déjà commis une bonne vingtaine de polars. Ce London Boulevard fût une belle expérience, loin d’atteindre le niveau de R.J.Ellory (Vendetta) ou celui de Raymond Dantec (Les racines du mal) certes mais excellent quand même. Je ne suis pas un grand amateur de ce genre, mais il est bon de se plonger, de temps en temps, dans de telles atmosphères, histoire de ne pas oublier que le mal existe bel et bien.

Ici, les personnages sont bien plantés, intéressants mais manquant parfois de profondeur ; j’aurais voulu en savoir bien plus sur Briony, Aisling ou Jordan par exemple, savoir leur donner un visage ; ici tout est suggéré aux travers d’innombrables dialogues. Les décors sont bien noirs, sales, empesés de sueur et de violence.

Quand  à l’histoire, elle tient la route jusqu’au bout sans fléchir malgré un début un peu lent et je peux bien avouer que le final m’a un peu bluffé. Je ne veux rien dévoiler mais il faut le lire jusqu’à la dernière page… Ca ne manque ni d’actions, ni de rebondissements en tout genre, ni de tueries bien sordides.

Bref, aucun regret après cette lecture policière. Un bon moment.

Merci à Bibliofolie et aux Editions Points pour ce polar bien noir.

 

4ème de couverture :

Après trois ans, Mitch sort enfin de prison. Le voici au grand air, dans un magnifique appartement et, bien vite, au pub avec tout ce que Londres compte de malfrats en tout genre. Entre un whiskey écossais et un rail de coke, il y fait la connaissance de Sarah qui lui trouve un emploi inattendu : Mitch sera homme à tout faire pour une ex-diva des planches, une gloire déchue aux caprices fantasques. Le temps d’une liaison avec cette Lillian Palmer et d’une très brève accalmie, il réapprend à vivre. Mais le répit est court. Mitch voit son passé le plus noir resurgir : Briony, sa sœur chérie mais franchement cinglée, est gravement menacée…



24 juin 2011

Les Tétins de Sainte-Agathe - Giuseppina Torregrossa

 

Giuseppina Torregrossa (Italie) – Les tétins de Saint-Agathe – 7/10

 

les tétinsPartenariat Newsbook (Editions Lattès)

Première partenariat avec Newsbook pour une lecture intéressante même si l’ensemble m’a un peu déçu.

Il s’agit ici d’une chronique familiale où l’amour, la gourmandise (vive la cuisine italienne, pardon, sicilienne), la mort sont intimement liés. L’histoire est agréable à lire et on arrive facilement à sentir voire goûter aux sublimes desserts italiens.

Par contre, ma déception vient d’une hésitation entre une chronique familiale élaborée à la Garcia Marquez, une histoire d’amour (là j’avoue ne pas trouver de comparaison n’étant pas fan de ce style littéraire), un récit érotique du genre 37°2 le matin ou 9 semaines et demie…

Sinon, il est vrai que Torregrossa sait raconter et évidemment elle est très bien documentée quand aux problèmes de cancer du sein, le lien incontournable, fil conducteur de ce roman.

Bref, impression mitigée qui méritera sans doute une seconde lecture pour mieux apprécier ses subtilités.

Quand aux tétins, si quelqu’un a une bonne adresse, je suis preneur smileylien

 

4ème de couverture :

Présentation de l'éditeur

Chaque année, le 5 février, Agata enseigne à sa petite fille Agatina les secrets de la préparation des gâteaux en l’honneur de la sainte dont elles portent toutes les deux le prénom. Tandis qu’elles pétrissent les cassatelle en forme de sein, les tétins, la grand-mère raconte le martyre de la sainte à qui le cruel consul Quinziano, ne supportant d’être repoussé, fit couper les mamelles. Grace à cette histoire dramatique, elle enseigne à sa petite-fille une règle du monde masculin : «Tu dois savoir que, si tu ne ressens pas de plaisir quand ils te touchent, les hommes se sentent atteints dans leur virilité, mais gare à toi si tu y prends du plaisir, parce que là ils te prennent pour une putain. » Ceci est l’un des nombreux avertissements, proverbes et conseils qu’Agata laisse en héritage à sa petite-fille – avec la recette des cassatelle – ingrédients indispensables pour en faire une femme. Et ce parfum de ricotta et de chocolat qui envahit la cuisine où Agatina écoute, fascinée, le récit de sa grand-mère, sert de prétexte à l’évocation de l’histoire de deux familles siciliennes et de leurs femmes. Les tétins vont toujours par paires, répétait inlassablement mamie Agata : deux seins, deux gâteaux pour chaque jeune fille. Cependant, la vie est imprévisible et le sein, doux viatique de joie et de nourriture, peut porter la maladie et le désamour. Le compte n’est pas toujours bon…

 

De Catane à Palerme, bercés par une langue savoureuse et un style enjoué, aussi frais que les histoires que les femmes se racontent en secret en préparant les repas et le destin de leurs hommes affamés, nous suivons l’évolution trépidante de notre protagoniste et de ses pas dans la vie.

 

Traduit de l’italien par Anaïs Bokobza

Biographie de l'auteur

Née à Palerme en 1956, Giuseppina Torregrossa vit entre la Sicile et Rome, où elle a exercé pendant plus de vingt ans la profession de gynécologue, s’occupant entre autres activement de la prévention et du traitement du cancer du sein.

En 2007, elle publie son premier roman, l’ Assaggiatrice. En 2008, elle remporte le prix de la première œuvre « Femmes et théâtre » de Rome avec son monologue théâtral Adele.

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31 mai 2011

Et Puis Un Jour J'ai Entendu Bob Dylan - Alain Rémond

Alain Rémond (France) - Et puis un jour, j'ai entendu Bob Dylan - 8/10

j_ai_entendu_bob_dylanPartenariat Blog-O-Book (Editions JBz & Cie) - Lecture terminée le 14 avril 2011

Moi qui ne connait Bob Dylan que par quelques tubes (Like a rolling stone ou bien Blowing in the wind) j'ai été extrêment impressionné par l'érudition de l'auteur; je parlerais même d'un amour immodéré envers Bob Dylan. Un fan quoi!

C'est très bien écrit, documenté et agréable à lire. On en apprend beaucoup sur Bob Dylan mais tout autant si pas plus sur l'auteur lui-même. Grandir avec une telle star et surtout y rester fidèle est selon moi exceptionnel au vu de la très (trop) longue carrière de Bob Dylan. Alain Rémond a vécu tellement de hauts et de bas dans cette épopée que son attachement tient parfois à peu de choses mais l'auteur reste néanmoins lucide sur les qualités disparates des chansons et des prestations scéniques du maître.

Bravo à Alain Rémond pour cette vision du rock américain et d'une certaine façon de vivre, l'american way of life. Le prochain billet aura un lien avec celui-ci puisque je parlerais du tout petit essai de Stéphane Hessel "Indignez-vous"; les premières chansons de Bob Dylan (les meilleures diront certains) ont quand même porté les frustations et les revendications de la jeunesse américaine de l'époque.

Merci à Blog-O-Book et JBz & Cie pour cette belle découverte.

4ème de couverture:

"Avec Dylan, je suis sauvagement subjectif. Je suis de son côté. Je lui passe tout (presque tout). Je lui pardonne tout (presque tout). Je n'ai aucune distance. Alors qu'il faudrait, je le sais bien. C'est comme une maladie. Grave, si ça se trouve. Une névrose obsessionnelle. Il faudrait que je me soigne. Mais je n'en ai pas la moindre envie. Si c'est une maladie, je la chéris."

Ecrivain et journaliste à Marianne et à La Croix, Alain Rémond a écrit, en 1971, l'un des tout premiers livres sur Bob Dylan, Les Chemins de Bob Dylan. Il est notamment l'auteur de Chaque jour est un adieu, Un jeune homme est passé, Comme une chanson de la nuit ou Celui qui n'est pas venu.

De la bibliographie assez importante (une vingtaine d'ouvrages) d'Alain Rémond, on peut retenir les livres sur ses idoles: Les Chemins de Bob Dylan, Editions l'Epi, 1971 et Yves Montand, Editions Henri Veyrier, 1977.
Et un jour, j'ai entendu Bob Dylan est le récit emblématique d'une génération qui s'est reconnue dans Bob Dylan, qui a appris l'anglais avec Bob Dylan et qui a découvert la culture américaine avec Bob Dylan.
Contrairement à ce que le titre laisse penser, Alain Rémond parle ici essentiellement de lui. Dans cet essai autobiographique partiel et partial, il revient sur celui qui a marqué sa jeunesse, et même bouleversé son destin, sur le choc émotionnel éprouvé à l'écoute des premières chansons de Bob Dylan, sur la façon dont il a vieille avec lui, avec ses errements musicaux, ses fulgurances et ses impasses.
Alain Rémond nous fait partager les concerts, parfois sublimes, souvent ratés d'une star bougonne qui tourne toujours frénétiquement sur toutes les scènes du monde.

 

19 avril 2011

Passagers de l'archipel - Anne-Catherine Bmanc

passagersAnne-Catherine Blanc (France) - Passagers de l'archipel - 9/10

Partenariat Blog-O-Book (Editions Ramsay) - Lecture terminée le 12 avril 2011

Envoutant!
Je n'ai pas trouvé de mot plus fort pour décrire mon impression concernant ce recueil de nouvelles. Tout y est: des personnages très joliment décrits, des décors somptueux mais loin des cartes postales paradisiaques, des histoires où l'humanité montre toute sa cruauté mais aussi sa solidarité, sa stupidité, sa folie... Le tout avec une très belle langue, très imagée (merci pour le glossaire en fin de livre), baignée d'un humour qui contre-balançe certains passages plus durs.

Merci à Blog-O-Book et Ramsay pour cette belle découverte. A lire absolument.

 

 

4ème de couverture:

Les continents ne sont pas fixes, ils dérivent. Les continentaux sont des migrants qui s'ignorent, des passagers soumis à ce mouvement infime comme à l'écoulement insensible du temps. Des passagers en rupture de barre, en rupture d'avenir, incapables d'empoigner le gouvernail pour métamorphoser en destin leur errance misérable.
Les îles aussi dérivent avec leur équipage. Plus vite, plus loin, dans l'urgence et le péril, aspirées par le sillage néfaste des continents. Quand leur microcosme s'ouvre à l'envahisseur, les organismes, les âmes résistent mal au souffle de ses miasmes, au viol de ses rêves frelatés. Des passagers disparaissent, asphyxiés sous les clichés dont on les affuble. Quelques-uns se rebellent. D'autres s'adaptent.
Mais tous ont à dire, à faire. Comme les continentaux, les îliens vocifèrent, chuchotent, rient, ou bien se taisent et agissent. Comme eux, ils influencent, du geste et de la voix, la course aléatoire de notre nef des fous.


D'origine catalane, Anne-Catherine Blanc est née et a grandi au Sénégal. Professeur de français, elle revient dans le Roussillon après avoir exercé en Afrique du Nord et à Tahiti. Elle a déjà publié Moana blues (Au Vent des Iles, Tahiti), qui lui valut en 2003 le Prix des Etudiants de l'Université de Polynésie française, et l'Astronome aveugle (Ramsay, 2009).

 

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4 mars 2011

Les Racines du Mal - Maurice G. Dantec

 

LesRacinesDuMalMauriceD603_fMaurice G. Dantec (France) – Les racines du mal – 9,5/10

Challenge ABC 2011 - Lettre D - Lecture terminée le 12 Février 2011

Et bien, monsieur Dantec, merci pour ce pavé. Quelle claque ! Quelle maîtrise, quelle imagination. Un roman entre science-fiction (l’action se passe dans un futur proche agrémenté de nouvelles technologies concernant l’intelligence artificielle) et thriller (chasse palpitante aux « Serial killers ») bluffant et palpitant que j’ai eu beaucoup de mal à quitter.

Même l’histoire d’amour entre un geek (un rien énervant par moments) et une belle russe ne gâche pas la lecture tant elle s’intègre bien dans le récit.

Seule la fin est un peu décevante mais on ne pouvait pas laisser cette bande de tueurs impunis quand même ! Et puis j’aime quand le héros se salit les mains et l’âme J

Bravo et si vous avez d’autres titres de Maurice Dantec à me conseiller, je suis preneur.

4ème de couverture :

"Andreas Schaltzmann s'est mis à tuer parce que son estomac pourrissait. Le phénomène n'était pas isolé, tant s'en faut: cela faisait longtemps déjà que les ondes cosmiques émises par les Aliens faisaient changer ses organes de place, depuis que les nazis et les habitants de Vega s'étaient installés dans son quartier." Andreas est un tueur et il le sait, mais quand on cherche à lui coller sur le dos des crimes qu'il n'a pas commis, du fond de sa clinique, il hurle.

2 mars 2011

Les Cerfs-Volants de Kaboul - Khaled Hosseini

 

LesCerfsVolantsDeKaboul427_fKhaled Hosseini (Etats-Unis) – Les cerfs-volants de Kaboul - 9/10

Challenge ABC 2011 - Lettre H - Lecture terminée le 11  Janvier 2011

Superbe roman  riche en émotions. On s’attache très vite aux personnages vu leur jeune âge et on ne peut s’empêcher d’imaginer que leur condition si différente va à un moment les séparer.  La rupture a été très dure, très lâche mais Amir est rattrapé par son passé et va, par la force des choses, payer pour son passé peu glorieux.

Seul reproche : je n’ai pas aimé la fin du roman un peu trop à l’eau de rose à mon goût. J’ai eu l’impression de me trouver dans un film américain où le bon gagne même si ces chances sont infimes. Mais « les cerfs-volants de Kaboul » reste un excellent roman qui ne laisse pas indifférent et donne une idée des conditions de vie de l’Afghanistan des talibans.

 

 

4ème de couverture :

Dans les années 70 à Kaboul, le petit Amir, fils d'un riche commerçant pachtoun, partage son enfance avec son serviteur Hassan, jeune chiite condamné pour ses origines à exécuter les tâches les plus viles. Liés par une indéfectible passion pour les cerfs-volants, les garçons grandissent heureux dans une cité ouverte et accueillante. Ni la différence de leur condition ni les railleries des camarades n'entament leur amitié. Jusqu'au jour où Amir commet la pire des lâchetés... Eté 2001. Réfugié depuis plusieurs années aux Etats-Unis, Amir reçoit un appel du Pakistan. " Il existe un moyen de te racheter", lui annonce la voix au bout du fil. Mais ce moyen passe par une plongée au cœur de l'Afghanistan des talibans... et de son propre passé.

28 février 2011

La jeune fille à la perle - Tracy Chevalier

La_jeune_fille___la_perleTracy Chevalier (Etats-Unis) - La Jeune Fille à la Perle - 8/10

Challenge ABC 2011 - Lettre C - Lecture terminée le 22 Février 2011

 

Perplexe après ce livre qui hésite entre roman historique et roman d'amour.

Il y a de très belles descriptions d'époque, on "sent" bien l'ambiance des rues de Delft, du marché. La vie de servante est aussi détaillée et rend bien les différences de classe.

Par contre, j'aurais aimé que les personnages secondaires (Tanneke, Cornelia...) soient plus approfondis. De même, on n'apprend quasiment rien sur Vermeer, sur la vie des peintres de l'époque, sur la Guilde et son rôle important dans la société.

Néanmoins, ce petit roman reste dans le haut du panier avec Griet, attachante, qui découvre la vraie vie dûe à son rang et sa pauvreté financière, et ouvre son coeur à l'art et en ressort grandie.

Bref, un passage de l'enfance au monde adulte avec ses aspects positifs et ses souffrances inévitables.

 

Quatrième de couverture

La jeune et ravissante Griet est engagée comme servante dans la maison du peintre Vermeer. Nous sommes à Delft, au dix-septième siècle, l'âge d'or de la peinture hollandaise. Griet s'occupe du ménage et des six enfants de Vermeer en s'efforçant d'amadouer l'épouse, la belle-mère et la gouvernante, chacune très jalouse de ses prérogatives.

Au fil du temps, la douceur, la sensibilité et la vivacité de la jeune fille émeuvent le maître qui l'introduit dans son univers. À mesure que s'affirme leur intimité, le scandale se propage dans la ville...

Un roman envoûtant sur la corruption de l'innocence, l'histoire d'un cœur simple sacrifié au bûcher du génie.

 

Folio - 2002 - 313 pages - ISBN 978-2070417940

 

Prochaine lecture: La délicatesse de David Foenkinos

28 février 2011

Challenge ABC 2011

Nouveau blog, nouveau challenge.

Comme de nombreux lecteurs, je me lance cette année dans un Challenge ABC: 1 livre dont le nom de l'auteur commence par les lettres de l'alphabet.

A - Auslander Shalom - Attention, dieu méchant
B - Beigbeider Frédéric - Un roman français

C - Chevalier Tracy - La jeune fille à la perle

D - Dantec Maurice G. - Les racines du mal

E - Ellory R.J. - Vendetta

F - Foenkinos David - La délicatesse

G - Gary Romain - La vie devant soi

H - Hosseini Khaled - Les cerfs-volants de Kaboul

I - Ishiguro Kazuo - Auprès de moi toujours

J - Jelinek Elfriede - Totenauberg

K - Kireishi Hanif - Quelque chose à te dire

L - Laurie Hugh - Tout est sous contrôle

M - Message Vincent - Les veilleurs

N - N'Diaye Marie - Trois femmes puissantes

O - Oates Joyce Carol - Nous étions les Mulvaney

P - Pancol Katherine - La valse lente des tortues

Q - Quiriny Bernard - Contes carnivores

R - Remarque Erich-Maria - A l'Ouest rien de nouveau

S - Sebold Alice - La nostalgie de l'ange

T - Toltz Steve - Une partie du tout

U - Uhlman Fred - Un ami retrouvé

V - Verdier Fabienne - Passagère du silence

W - Wiazemsky Anne - Une poignée de gens

X - Xinran - Baguettes chinoises

Y - Yates Richard - La fenêtre panoramique

Z - Zafon Carlos Luis - Le jeu de l'ange

 

Evidemment, en bon lecteur, je me réserve le droit de ne pas respecter le challenge, d'abandonner une lecture, de changer d'auteur ou de roman mais néanmoins j'essaierai de m'y tenir :-)

A bientôt.

Benoit

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Guide de Lecture
  • Blog de partage de mes lectures, principalement des romans d'auteurs contemporains. Fan de Bret Easton Ellis, Maurice Dantec, Alessandro Baricco mais aussi de Maxence Fermine, Philippe Claudel... N'hésitez pas à commenter mes articles et partager vous aus
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